Actuellement, un très grand nombre de scientifiques sont impliqués dans des travaux de recherche sur la Trisomie 21, selon plusieurs pistes :
Une centaine de chercheurs dans le monde travaillent dans ce domaine, notamment en France, en Italie, en Espagne et aux Etats-Unis.
La recherche coûte cher et le temps nécessaire pour trouver un médicament est long. En France, les travaux de recherche sont financés exclusivement par des fonds privés, ce qui ralentit l’espoir de trouver rapidement un médicament pour les personnes atteintes de trisomie 21.
Le Collectif Les amis d’Eléonore demande à l’Etat d’assumer pleinement sa mission de protection et d’intégration des personnes atteintes de trisomie 21 et de financer la recherche par une aide financière à la hauteur des enjeux.
Comme le suggère le Conseil Consultatif National d’Ethique :
« Des recherches publiques sur les mécanismes de la trisomie 21 (effet biochimiques liés à la présence d’un chromosome supplémentaire) ou encore dans le champ cognitif et psychologique pourraient être encouragées, afin d’améliorer les performances intellectuelles des personnes porteuses d’une trisomie 21 ».D’une façon générale, toute mesure qui concourt à l’amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de handicap mental répond aux exigences de la loi du 4 mars 2002 :
« Toute personne handicapée a droit, quelle que soit la cause de sa déficience, à la solidarité de l’ensemble de la collectivité nationale ».